La gestion de ses finances n’est pas un long fleuve tranquille. Pour la deuxième année consécutive, les fêtes de fin d’année vont être rythmées par le coronavirus, avec les conséquences qui s’imposent sur notre vie de tous les jours et que nous connaissons bien. Mais petite consolation (oui, on est toujours optimistes chez Birdee !) la finance mondiale devrait à priori être moins impactée cette année, le coronavirus étant désormais une normalité et non plus une exception comme en 2020.
Ok, mais est-ce que cela aura des répercussions sur mon patrimoine personnel ? Certains trucs bien connus des spécialistes en économie pourraient vous permettre de tirer votre épingle du jeu, surtout si vous êtes en recherche de rendements juteux.
« Tu vois, le monde se divise en deux catégories d’investisseurs, ceux qui paniquent, et ceux qui attendent. Toi tu paniques ! » Bon, on a un peu modifié la célèbre phrase de Clint Eastwood dans le film « Le bon, la brute et le truand », mais vous avez compris le principe. Si vous avez investi sur les marchés, par exemple via un compte-titres ou si vous détenez une assurance vie en unités de compte, la panique est mauvaise conseillère. Vous voulez courir aux abris parce que les marchés sont orientés à la baisse ? Rien ne vous en empêche, mais l’investissement sur du long terme est la meilleure façon pour diluer le risque.
Les personnes qui ont su garder leur sang-froid et diversifier leur épargne, tout en respectant leur profil d’investisseurs, sont ceux qui peuvent espérer traverser les crises financières sans trop de bobo. Diversifier ses supports d'investissement est une approche efficace pour se constituer un patrimoine en minimisant les risques. La première étape est bien entendu l’épargne de précaution. Les comptes réglementés sont faits pour ça, mais la hausse de l’inflation (4,9% en novembre dans la zone euro !) en fait des non-sens économiques en matière de rendement. Un patrimoine bien géré est aussi un patrimoine qui se développe, grâce à des comptes plus dynamiques.
Finie l’époque ou l’investissement socialement responsable (ISR) était perçu comme peu rentable ou faussement écologique. Selon une étude de 2020 publiée par l’Ecole Polytechnique, les fonds ISR surperforment à 62% les fonds traditionnels. Et ils sont aussi résilients, sinon plus, en période de crise.
Pourquoi ? Car ils permettent d’investir dans des secteurs d’avenir, comme la santé, la technologie ou les biotech, des domaines qui ont particulièrement bien résisté pendant la période Covid. Alors que les secteurs plus traditionnels, comme ceux liés à l’industrie pétrolière, les matières premières ou le transport aérien (et bien polluants, avouons-le) ont connu de sacrées sueurs froides. Les placements éco-responsables, comme ceux proposés par Birdee, offrent des rendements qui s’adaptent à votre profil de risque, donnant aussi du sens à vos investissements.
Ces temps agités vous obligent à être plus attentifs sur la situation de votre épargne. Voici d’autres conseils bienvenus :
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